Les pêcheurs français connaissent en général le nom de ce poisson dont les plus beaux spécimens se trouvent sur leur territoire national : en Guyane ! Les photos de ces imposants prédateurs, au machoires d'acier et à la robe d'un noir d'encre ont toujours eu un certain effet sur moi, sans doute car ils me rappellent ces tueurs froids des océans et leur exosquelette, les plachodermes. Heureusement, il y a bien longtemps que ces monstres ont disparu de nos Océans suite à leur extinction au Devonien.
J'aurais donc beaucoup aimé pêcher Hoplias Aimara, cette espèce qui devient si grande. La légende dit qu'il est facile de déclencher des attaques avec des Bull, ce gros leurre distribué par Lucky Craft, une marque que j'adore. On imagine aisément le comportement de ce poisson : sans prédateur, toujours de mauvaise humeur, il éradique sans pitié tout ce qui a l'outrecuidance de venir sur son territoire.
Malheureusement les années ont passé et je n'ai jamais eu l'occasion d'aller en Guyane. Je me suis contenté des espèces ci-dessous, que je n'ai pas encore identifié, c'était au Venezuela. Les aimaras du Venezuela ont un comportement radicalement diférent de ceux de Guyane, ils se laissent vivre tranquillement sur le fond, limitant leurs efforts. On les pêche avec des leurres souples que l'on laisse traîner sur le fond, comme on le ferait pour le Sandre. Ils offrent des combats d'une rare molesse, contrairement à leurs cousins de Guyane.
J'aurais donc beaucoup aimé pêcher Hoplias Aimara, cette espèce qui devient si grande. La légende dit qu'il est facile de déclencher des attaques avec des Bull, ce gros leurre distribué par Lucky Craft, une marque que j'adore. On imagine aisément le comportement de ce poisson : sans prédateur, toujours de mauvaise humeur, il éradique sans pitié tout ce qui a l'outrecuidance de venir sur son territoire.
Malheureusement les années ont passé et je n'ai jamais eu l'occasion d'aller en Guyane. Je me suis contenté des espèces ci-dessous, que je n'ai pas encore identifié, c'était au Venezuela. Les aimaras du Venezuela ont un comportement radicalement diférent de ceux de Guyane, ils se laissent vivre tranquillement sur le fond, limitant leurs efforts. On les pêche avec des leurres souples que l'on laisse traîner sur le fond, comme on le ferait pour le Sandre. Ils offrent des combats d'une rare molesse, contrairement à leurs cousins de Guyane.
Espèce à identifier.
Espèce à identifier.
Le Bull de Lucky Craft, canne puissante conseillée (il faut 10cm pour 2 onces).
Ce leurre n'est plus distribué aujourd'hui.